À partir de la thématique du festival, nous vous proposons une sélection d’ouvrages étonnants. Entre bandes dessinées, romans, pièces de théâtre et d’autres surprises : découvrez les sujets abordés dans cette sixième édition par d’autres prismes et régalez-vous !
Situé dans les jardins de l’université, à l’ombre des arbres, il est le cœur du festival : bar, librairie, scène extérieure, Magic Mirror, transats, food trucks…
Vous aurez l’occasion d’y savourer une bière bien fraîche ou du cola alsacien, d’y croiser les artistes, de causer avec les bénévoles et de faire la queue pour les food trucks.
Galla Naccache-Gauthier est une comédienne qui s’est formée en classe préparatoire à la Comédie de Saint Etienne, au conservatoire de Lyon et au compagnonnage théâtre. À côté du théâtre, elle est illustratrice sous le pseudo de Narvaline et ressent une affinité forte avec la musique et l’écriture.
Sur ces deux heures d’atelier, Galla utilisera ces outils afin d’explorer l’oralité automatique : que se passe-t-il quand le cerveau et les sens lâchent ? Quels mots sortent lorsque nous ne contrôlons plus rien ? Et que reste-t-il de ces espaces inconscients lorsque nous lisons un texte ? L’imaginaire généré par le texte reste souvent un secret bien gardé. C’est ce que Galla souhaite décortiquer avec vous : trouver des moyens concrets pour enrichir cet imaginaire invisible qui réside dans les mots.
Autour d’Icare, il se passe bien des choses : une reine tombe amoureuse d’un taureau, le minotaure se livre à une dernière danse dans son labyrinthe, trois travailleurs s’acharnent sur leur labeur et trois nymphes se lamentent au bord de la mer.
Ce spectacle, scindé ici en deux parties, réunit quatre pièces chorégraphiques courtes inspirées de la mythologie grecque et de personnages gravitant autour du mythe d’Icare, ce jeune homme connu pour s’être brûlé les ailes en approchant le soleil d’un peu trop près. C’est une fresque en quatre temps qui retrace et réinvente les mythes antiques pour éprouver les relations humaines et en révéler ce qu’il y a de plus étincelant, de monstrueux et de divin.
stagiaire assistant à la mise en scène Esteban Roc
masques Wintercroft
soutiens Centre Chorégraphique National de Roubaix, Centre d’animation de Beaulieu (Poitiers), des Studios de Virecourt (Benassay), de Danse Dense (Pantin), Ville de Poitiers
Dans un futur proche, une catastrophe a recouvert le ciel d’un épais nuage noir. La lumière du soleil ne passe plus au travers. La vie commence à disparaître et le phénomène se propage sur toute la planète. Guerres, révolutions, pillages… nous sommes encore après. Au dernier moment. Nous sommes au point métaphorique de bascule où tout peut disparaître, où le soleil peut ne plus jamais se lever. Bulle et Yeen se rencontrent. Iels sont jeunes. Iels sont l’espoir. Iels s’aiment et cet amour est un rempart contre l’effondrement. Iels partent à la recherche d’un ailleurs, à la recherche d’une porte de sortie.
à partir de 12 ans
texte et mise en scène Yanis Skouta
interprétation Romain Gillot, Mélody Pini, Paul Fougère
création lumière Sophie Baer
création sonore Enzo Patruno-Oster
production Pierre Aarnink
soutiens Jeune Théâtre National (Paris), La Pokop (Strasbourg), Festival Démostratif (Strasbourg)
Mue par les formes théâtrales déambulatoires et englobantes, mais également par la portée poétique et la beauté de l’image scénique, notre recherche s’articule entre la création d’univers oniriques, et le fait de révéler la machinerie, l’histoire en train de se construire, de se coudre et se découdre. Pour cette première création de la Compagnie Vert d’eau, le matériau textuel est une adaptation théâtrale de la légendaire quête de la baleine blanche romancée par Herman Melville.
à partir de 7 ans
inspiration et extraits Moby Dick d’après Herman Melville
adaptation Fabrice Melquiot (@L’Arche 2013)
mise en scène, écriture et scénographie Margaux Michel
texte et interprétation Apolline Agard, Eva Courgey, Emilou Duvauchelle, Morgane Eydmann, Lucas Filizetti
collaboration artistique Léo Martin
création musicale Alexis Thepot
soutiens DRAC Grand Est, Ville de Strasbourg, Agence culturelle Grand Est, Maison des Arts de Lingolsheim, festival Démostratif, Théâtre de l’Arsenal (Val-de-Reuil), Les Studios de Virecourt (Benassay), La Passerelle (Rixheim), Haute Ecole des Arts du Rhin, Association 23BIS (Strasbourg), La MAC (Bischwiller), Incubateur Fluxus (Metz)
Mue par les formes théâtrales déambulatoires et englobantes, mais également par la portée poétique et la beauté de l’image scénique, notre recherche s’articule entre la création d’univers oniriques, et le fait de révéler la machinerie, l’histoire en train de se construire, de se coudre et se découdre. Pour cette première création de la Compagnie Vert d’eau, le matériau textuel est une adaptation théâtrale de la légendaire quête de la baleine blanche romancée par Herman Melville.
à partir de 7 ans
inspiration et extraits Moby Dick d’après Herman Melville
adaptation Fabrice Melquiot (@L’Arche 2013)
mise en scène, écriture et scénographie Margaux Michel
texte et interprétation Apolline Agard, Eva Courgey, Emilou Duvauchelle, Morgane Eydmann, Lucas Filizetti
collaboration artistique Léo Martin
création musicale Alexis Thepot
soutiens DRAC Grand Est, Ville de Strasbourg, Agence culturelle Grand Est, Maison des Arts de Lingolsheim, festival Démostratif, Théâtre de l’Arsenal (Val-de-Reuil), Les Studios de Virecourt (Benassay), La Passerelle (Rixheim), Haute Ecole des Arts du Rhin, Association 23BIS (Strasbourg), La MAC (Bischwiller), Incubateur Fluxus (Metz)
L’humain a laissé de nombreuses traces sur son passage, donnant un monde poreux et fumant. Vivant entre la mousse et les fossiles, NULLE-ABRI, un être énigmatique, s’apprête à donner un étrange rituel : une tentative de dialogue avec une dent de montagne.
Cette performance est une balade visuelle et sonore abstraite portant sur le désir d’exploration du monde et sur la recherche d’identité. Dans une volonté de prendre soin, ce voyage se veut comme un baume pour l’esprit, une invitation à lâcher prise dans un présent que l’on projette, comme voué à sa perte.
Que va-t-il émerger des cendres ? Une occasion de témoigner d’une recherche d’identité, celle d’un corps queer en quête.
direction artistique, direction musicale, scénographie Vivi Victoire Knuchel, Les Pygmalions
interprétation Vivi Victoire Knuchel
voix off Suzanne Alsibaï
costume Emma Wolff
régie son Gabriel Barthel
soutiens Les Pygmalions (Strasbourg), Crous (Strasbourg), Service de la vie universitaire de l’Université de Strasbourg, Ville de Strasbourg, Région Grand-Est
LA TÊTE : Alors qu’il est sur son fauteuil, un homme voit sa tête absorbée à l’intérieur de son corps. Sa femme s’empresse alors de l’aider avec ce qu’elle a sous la main.
17h30 LUNETTES : Un matin, une femme cherche ses lunettes. Elles ne sont ni sur la table de nuit, ni dans son sac et ni dans la salle de bain : elles sont collées à son visage.