À partir de la thématique du festival, nous vous proposons une sélection d’ouvrages étonnants. Entre bandes dessinées, romans, pièces de théâtre et d’autres surprises : découvrez les sujets abordés dans cette sixième édition par d’autres prismes et régalez-vous !
Situé dans les jardins de l’université, à l’ombre des arbres, il est le cœur du festival : bar, librairie, scène extérieure, Magic Mirror, transats, food trucks…
Vous aurez l’occasion d’y savourer une bière bien fraîche ou du cola alsacien, d’y croiser les artistes, de causer avec les bénévoles et de faire la queue pour les food trucks.
Wom·x a pour objectif d’amplifier la présence des femmes, personnes trans’ et non binaires en musique électronique. Le projet propose des sessions d’apprentissage, de discussion et de passages sur scène ouverts à toutes les générations, origines et genres musicaux.
Corpus Mo(n)strea est une création autour du corps libéré. Trois personnes se retrouvent, se caressent, dansent, lentement, un corps à trois têtes, trois corps dont on ne reconnait plus les membres. Est-ce qu’iels sont amants·es ? Amis·es ? Une famille ? Ces trois corps ont une histoire personnelle, une manière d’interagir avec l’autre, dans notre société. Iels ont des entraves et des espaces de liberté.
interprétation Marguerite Woerlé, Igor Salvi et Pauline Jacquet
création sonore Matteo Tura
soutiens Collectif ça gronde (Strasbourg), PSSST ! Festival (Strasbourg), Ville de Strasbourg, Crous (Strasbourg), Haute école des Arts du Rhin (Strasbourg), SPL Deux-Rives (Strasbourg)
Munis·es chacun·e d’un micro et assistés·es par une présentation par slides, nous dresserons, dos adossés confortablement à l’assise, les différents points d’une décapitalisation effective dans notre contexte historique, sociétal, artistique et technologique.
Une conférence thèse – antithèse – synthèse imaginée comme un essai performatif, images et vidéos projetées à l’appui.
Depuis 2017, Lulu Van Trapp compose, tourne, sort des clips, organise d’immenses bals costumés, monte sur scène en costume trois pièces, en sort nu·e, et met la misère avec ses chansons d’amour.
Une fille et trois garçons que l’on voit grandir le long des dix morceaux de leur premier album « I’M NOT HERE TO SAVE THE WORLD », entre rock, rnb et synth pop, entre violence et tendresse. Quand on leur demande pourquoi iels font tout cela, leur réponse tombe comme une révélation : « on essaye de se libérer de la maladie moderne de l’égo ».
Le chant des braises est un espace de contemplation et d’expérience sensorielle. Dans l’obscurité, des formes bougent, et, au fur et à mesure, des images prennent vie devant nos yeux, floues et parfois irréelles : on assiste à l’éveil d’une créature indistincte. La chose, étrange amas de lumière, se mue, coule, s’élève, se tord, explore et se transforme en dialoguant avec les sons.
chorégraphie Alice Chapotat, Olivia Burner
interprétation Olivia Burner
scénographie, costume Alice Chapotat
création sonore Maxandre Allary
soutiens Collectif ça gronde (Strasbourg), PSSST ! Festival (Strasbourg), Ville de Strasbourg, Crous (Strasbourg), Haute école des Arts du Rhin (Strasbourg), SPL Deux-Rives (Strasbourg)
Wom·x, collectif strasbourgeois qui accompagne des femmes, personnes trans et non-binaires dans la pratique de DJing, investit le Magic Mirror du festival Démostratif.
Au programme de cette fin de soirée : Yasmine Stardust aux platines, dancefloor et un atelier pour celles et ceux qui voudront s’essayer au DJing. Venez danser ou mixer sous les casques selon votre envie !
L’éminent et très controversé professeur Felice Bartolomeo, invité d’honneur du colloque Défaire et refaire le corps est débouté de l’Université des Arts et des Sciences. Il trouve refuge dans un théâtre et entend bien démonter le corps pièce par pièce. Va-t-il ouvrir un corps de chair et de sang ? Disséquer un corps social, un corps de sens ? C’est ce que vous allez voir !
Mais attention : Felice dérape, il glisse sur une flaque rouge et brillante. Il entreprend un strip tease anatomique débridé et emmène le public dans une joyeuse débauche. Voici un objet théâtral qui bouscule la réalité du corps avec humour et taille dans le vif des apparences.
à partir de 14 ans
texte et dramaturgie Léonor Ilitch, Félix Blin-Bellomi, Robin Birgé
mise en scène Léonor Ilitch, aidée d’Adèle Couëtil
interprétation Félix Blin-Bellomi, Adèle Couëtil
construction scénographie Sevil Gregory, Lien Robin
musique Louison Assié, Félix Chaillou Delecourt
lumière Louison Assié
création vidéo Ana Mejia Eslava
coproduction Le Manège (Reims), Le Festival mondial des théâtres de marionnettes (Charleville-Mézières), La Fileuse (Reims), Théâtre de marionnettes de Belfort
soutiens DRAC Grand Est, Région Grand Est, Département de la Marne, Ville de Reims, Jardin Parallèle de Reims, Le Tas de Sable – Ches Panses Vertes (Amiens), Fluxus (dispositif d’incubation pour les projets culturels et artistiques du Grand Est)
Vengeance, jalousie, dérive médiatique, fiasco judiciaire, fascination morbide, c’est une affaire qui nous tient en haleine depuis des années. Tout y est : un crime contre l’innocence, une famille déchirée, un juge suicidaire, une nuée de vautours et un mystérieux corbeau planant sur une obscure vallée rurale. Une tragédie contemporaine portée à la scène dans toute sa démesure et un malicieux petit pas de côté…
Anette Gillard fait piailler les corbeaux dans cette pièce qui oppose des oiseaux de mauvais augure à l’animalité des hommes. Comique, grotesque et singulièrement esthétique, la mise en scène de Sacha Vilmar défie l’horreur et le sensationnel, un fléau ordinairement humain car le théâtre, en réalité, ne raconte rien d’autre.
coproduction TAPS (Strasbourg), Théâtre de la Manufacture – Centre dramatique national de Nancy Lorraine, Théâtre de Lunéville, Le Diapason (Vendenheim)
soutiens DRAC Grand Est, Région Grand Est et Ville de Strasbourg au titre de l’aide à la production, service de l’action culturelle de l’Université de Strasbourg
accueil en résidence La Pokop (Strasbourg), l’Agence Culturelle Grand Est (Sélestat), la Filature – scène nationale (Mulhouse), Théâtre de la Manufacture – Centre dramatique national de Nancy Lorraine, le TAPS (Strasbourg)